[Lord Casque Noir] ou les chroniques de l'inutilité

C'est comme une carte que l'on retourne sans cesse.
Elle ne cessera jamais de nous impressionner.

Un coup gagnante, un coup assassine.
C'est dans l'ordre des choses...

La vie est très peu câline lorsqu'on la vit sous l'espoir de la chance.
j'ai moi même perdu tout espoir dans une roulette bien pire que bon nombres d'histoires sombres.
Il n'y a aucun pile ou face, aucun bluff,
on a beau sortir ses griffes autant que possible, le tort prend place et s'impose,
ainsi naissent les regrets.

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Septange 640

Cela fait maintenant plusieurs mois que je me réveille tous les matins en criant. Je fixe longuement le plafond de ma geôle, essayant de penser à des choses agréables, pour éviter de sombrer dans la folie. J’essaye de me remémorer mon ancienne demeure, plus particulièrement ma chambre. Au dessus du vieux lit en chêne, un tableau. Le tableau d’une petite plage de Sufokia. Et j’envie le couple sur cette peinture, enlacé sur cette plage du bout du monde, seul mais pas solitaire, insensible au temps qui passe. Et à la vie qui part.
Elle me quittera bientôt.

On ne peut pas dire que je n’y sois pas préparé. Depuis ma capture et un procès vite expédié, je connais la date de ma mort. Mais cette mort annoncée, au soir d’une si belle après-midi me remplit d’amertume.
C’était un après-midi de printemps, les rayons du soleil jouaient à travers les quelques arbres de Bonta, cité dont j’avais tant espéré la chute.
Elle me verra chuter.
Je m’étais vêtu de mes plus beaux vêtements, pour l’occasion. Je me devais en effet d’être très présentable pour le procès, procès qui a changé le cours de ma vie. Et celui de ma mort.
C’est drôle, je ne me souviens plus de ces vêtements. Je sais qu’ils étaient mes préférés, et que j’avais longuement réfléchi pour mettre ceux-là, et non pas cet horrible costume en poil de Prespic que j’avais échangé contre un malheureux estomac de bouftou, à une jeune eniripsa. Je me rappelle très bien de cet habit poilu, mais plus moyen de me remémorer mon vêtement préféré.
Je ne pensais être jugé que pour mes crimes de guerre.
La chance en a voulu autrement.

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Junidor 637

Je me levais doucement. Encore une journée qui commence. Aucune perspective réjouissante n’est prévue aujourd’hui. Mais c’était déjà le cas hier. D’ailleurs, si j’assemble mes souvenirs, j’éprouve un certain mal à en retrouver d’agréable.
J’enfilais rapidement une vielle cape de scarafeuille. On pouvait remarquer qu’elle avait déjà bien vécu et qu’il était temps pour elle de finir la curieuse mais néanmoins passionnante vie de vêtement.
Mais je ne pouvais m’en séparer. Par habitude je pense.
Et il faut bien avouer qu’elle me donnait un look d’enfer.
Je me préparais un café au sang de bouftou. Je le ratais à chaque fois, mais comme j’étais toujours le seul à en profiter, c’était sans importance.
Je le sirotais tout en parcourant du regard l’étiquette.
J’en arrivai rapidement à cette constatation : il n’y a rien d’intéressant à lire sur une boîte de café.
Ce café était vraiment mauvais.

A suivre...
Ou pas !

Je veux la suite moi...

Ce soir, mais uniquement si j'arrive à atteindre le cercle de puissance 50.

Excellent, très bon style d'écriture, j'attends la suite avec impatience ! Ou pas ... x)

Descendre 636

J'étais jeune, et haineux.
Je maudissais plus que tout le jour où ma mère m'a mis au monde.
Une haine si puissante, qui m'attira celle de mes parents, ainsi que de la crainte.
J'étais déjà vagabond dans mon esprit, je ne savais jamais où aller.
J'errais.

Au diable l'avarice, j'exprimais agréablement ma solitude et ma mysanthropie en ne daignant accorder plus aucun mot à quiquonque croisait ma route.
Je voulais marcher seul, après que mon père m'eut chassé du domicile familial.

Astrub. Ville maudite depuis sa création.
Des pleutres sans foi ni loi, autre que celle de se cacher des influences des Deux Grandes.

Je n'ai jamais cru en mon destin, ni celui des moutons que je croise de jour en jour.
Pour moi la seule loi de ce monde est le hasard.
Et je m'y adapte.

Une pièce, deux cités.
Le hasard me guiderait.
La pièce s'éleva.
Cette piece n'était pas destinée à tomber sur pile, ni sur face.
Ce n'était simplement que du hasard.
Et je m'y adapte

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Junidor 637

Quelqu’un frappa à la porte de mon miteux trou à rat.
Je savais qui c’était mais je ne voulais pas ouvrir. Pas encore. Il n’avait qu’à attendre quelques minutes. Je n’avais pas encore fini mon café.

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Septange 640

Cela va bientôt faire deux ans que je suis enfermé dans cette prison.
Mes yeux se sont parfaitement adaptés à l'obscurité constante de cette pièce trop étroite.
Aujourd'hui, j'ai même réussi à attraper un rat.


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Junidor 637

J’avais fini mon déjeuner.
Il fallait donc partir guerroyer.
L’homme derrière ma porte frappa une nouvelle fois.
Je mis ma coiffe. Elle n’était pas en meilleur état que ma cape.
J’allais oublié mon épée.
Je la regardais . J'y vis mon reflet à travers sa lame. J’avais un air béat et un sourire idiot. La même tête que d’habitude en somme.

On frappa une nouvelle fois à ma porte.
"Bouge toi, Leo Minou ! On va être en retard" cria Brank Toof.
Cela faisait 1 mois que nous combattions ensemble, à défendre l'aile nord de la cité pandawan.
Il se tenait devant la porte, portant une large cape d'un noir profond.
Son teint était pâle, presque livide. Il avait subi plusieurs blessures d'importance et ne rêvait que d'une seule chose : rejoindre Brakmar.
Nous partîmes vers le flanc nord, les cieux emplit de terribles oiseaux. Ce trajet, j’ai bien dû l’effectuer des milliers de fois.
Mais passer devant ces vieux bâtiments en ruine me laissait toujours une étrange impression.
Impression d’impuissance devant le temps qui passe et les choses (les gens ?) qui se dégradent. N’était-ce qu’une impression ? J’en doutais. Mais je doutais souvent à ce moment de ma vie. Je crois même que je n’ai jamais cessé de douter. Peut-être qu’un jour, je commencerais à espérer. C’est beau de rêver.

Descendre 636

La nuit était tombée.
J'errais dehors.
La pluie, si limpide, pisse des douze, ruisselant sur nos âmes telle l'absolution que tous recherchent.
Ma pièce tomba dans une flaque dans un bruit lourd.
Face.
Cette pièce n'était pas destinée à tomber sur pile, ni sur face.
Ce n'était simplement que du hasard. Et je m'y adapte.

Brakmar serait donc ma nouvelle patrie.

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Junidor 637

La matinée ne faisait que commencer lorsqu’on nous demanda d’interrompre notre ronde de garde. Nous nous sommes alors regroupés autour d’une petite estrade en bois où un homme d’une cinquantaine d’années, vêtu d’une imposante armure, se tenait là, debout.
« L’heure est grave » cria-t-il en levant les bras aux ciels. « Il est temps d’exterminer ces Bontariens » ajouta-t-il. Devant l’envie qui caractérisait des combattants subissant un siège de plusieurs jours, il s’exclama : «Rushuu vous a choisit pour débarrasser le monde de ces volatiles aux ailes blanches »Plusieurs miliciens se mirent à rire, d’autres repartaient déjà accomplir leurs tâches habituelles. Moi-même je ne pu m’empêcher de sourire à ce laïus. Oto Mustam ne se rendait pas compte de notre misérable condition, et il voulait en plus que nous nous chargions du sale boulot.

« Je vous accorderais 1 semaine de permission à l’issue de ce combat » Voilà de quoi capter notre attention. Aucun de nous n’avait eu le droit à de vraies vacances depuis son enrôlement. J'imagine Sufokia, une grande plage de sable, des palmiers dont on appréciait tellement l’ombre. « Je n’ai besoin que de 10 hommes » Chacun levait sa main et criait. Otto me désigna...

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Septange 640

J'entends un gemissement qui provient du couloir...
La porte s'ouvre, on dirait que je vais avoir de la visite.
J'ai envie de mourir vite.
Faîtes que je ne souffre pas trop.

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Junidor 637

Notre mission était simple... faire diversion pendant que Otto Mustam quittait Pandala.
Quel grand chef nous avions là.
Chaque compagnie avait donc laissé 10 hommes à dispostion pour cette mission suicide.
Je n'avais plus rien à faire de la mort. Elle approchait tellement vite. Mais je savais que ce n'était pas encore l'heure de son arrivée...

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Descendre 636

Le Lendemain je suis allé voir le recruteur Brakmarien, et je lui ai parlé de ma vie, de ma miséricorde qui me pèse à force.
Mais ce n'est de la faute à personne. C'est seulement le hasard. Apparement dès ma naissance je n'ai pas eu de chance.
Je me souviens de son regard, un regard si pur et beau, dans le corps d'un meurtrier.
Il m'écoutait attentivement, et me proposa de rejoindre soit la garnison de Cania, soit celle de Pandala.
La piece que je venais de jeter roula sur le sol, et tomba sur face à nouveau.
C'était décidé, je devais rejoindre Pandala.

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Junidor 637

Le pont-levis se baissa dans un grand fracas.
Nous sortîmes.

Devant nous, la colline était noire de milliers de bontariens. Leurs cris nous glaçaient le sang. Je n’en avais jamais vu autant. Certains étaient gigantesques, plus de deux mètres de haut. Les hommes s’élancèrent, et les premiers coups d'épée se firent entendre.
Au dessus de nos têtes, les vautours volaient dans de terribles bruissements d’ailes. Leurs becs avaient la couleur du sang. Certains finissaient le travail des Bontariens. D'autres attendaient la chute de nos derniers survivants. Nous frappions sur des choses, plus que sur des êtres vivants. Puis un Xelor cria, et montra du doigt une masse, au loin.
C’était une nuée de Bontariens qui arrivaient sur nous. Notre groupe se dispersa, et voulu retourner dans la ville assiégée. Mais le pont-levis était maintenant remonté. Les portes étaient closes.
Nous étions seul, affolés par la vision cauchemardesque qui se présentait à nous. Nous trébuchions sur des cadavres, essayant d’atteindre les ruines d'une vieille bâtisse que l’on voyait au loin.
Puis les Bontariens attaquèrent.

Mauvaise nouvelle pour mes deux fans (oui, vous, au fond de la salle, à gauche, près du radiateur), je pars en vacances à l'issue de mon plein gré, donc, la suite dans une semaine environ !

Noooonnn, comment allons nous faire sans tes palpitantes histoires ????
Enfin bon, profites bien de tes vacances

Septange 640

Un petit être atterrit dans la même geôle que moi. Il dit s'appeler Dezabel et avoir combattu à Pandala également.
Il semble puissant malgré sa petite corpulance. Et surtout, il dégage une aura pleine de noirceur et de haine.
Il me dit être un envoyé du Mal. Né pour rependre la mort.
Peut-être que quelqu'un a entendu mes prières ?
Pourquoi vivre lorsque l'on sait que l'on va mourir ?
Dezabel est membre d'une organisation de démon voué à la destruction et au malheur.
Et surtout, il connait le moyen de me faire sortir...

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Junidor 637

« Visez la tête, et ne gaspillez pas vos forces » s’écria un Sadida à ma droite. Facile à dire.
L’homme devant moi fut soudain décapité d'un coup de lame. Le iop qui tenait l'épée tourna sa petite tête et me fixa. Il avait les yeux bleus, des yeux profonds. Rien à voir avec le regard d’un animal sanguinaire. Il avait les yeux d’un enfant. Et l’haleine d’un vieil ivrogne.
Je ne pouvais bouger comme hypnotisé par la bête. Certaines légendes parlent de bontariens devenu Anges. D’hommes et de femmes qui ont, soi-disant, voués leur vie au bien, et qui se sont envolés avec les oiseaux. Peut-être que je voyait un ange.

La tête de mon ange explosa, sa cervelle m’éclaboussant. C’était Brank Toof qui venait de lancer une sorte de boule de feu. « Qu’est-ce-que tu fous, ce truc a faillit te trucider. Et toi, tu lui souris. Cassons-nous de là, vite ! »

Le champ était jonché de cadavres d’hommes. Les cris se mélangeaient en un hurlement terrifiant. Je me mis à courir en direction des ruines, devancé par Brank. J’avais jeté mon epée, je m’étais fait à l’idée de mourir aujourd’hui.
Les ruines étaient devant nous. Plus que quelques centaines de mètres. Brank Toof trébucha. Je le dépassai en courant. Je ne pouvais m’arrêter, j’avais trop peur. Un Bontarien arriva à sa hauteur.
Pile, je continuais ma route. Face, j’aidais mon amis.
La pièce s’éleva.
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Septange 640

"Faible Ecaflip, je ne parle plus en mon nom... Mais quelqu'un veut s'adresser à toi !"
Dezabel fut pris de spasmes violents et des éclairs sortirent de son corps.
Ses yeux devinrent rouge sang. Sa respiration devient rapide, saccadée.

"Gniii " dit-il " Leo Milou, je te connais.... Je t'ai déjà plusieurs fois rencontré sous d'autres formes. Celle d'un père, celle d'un enutrof... Je t'ai guidé jusqu'ici, jusqu'à ce jour...Tu dois faire un choix... Me rejoindre et vivre , ou crever dans cette geôle en comptant les quelques jours qu'ils te restent à vivre."

Le débat méritait-il vraiment d'être lancer...
Bien sur que je voulais vivre !

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La suite, la suite, la suite !

Ce soir, petit scarabé.
Et puis, en fait, le suite va devenir payante.
Par ici les kamas... ^^

Wouh, j'adore ! J'suis impatient de lire la suite !

Je Mp la suite contre kamas^^

Ben, normalement, ce soir, je poste la suite.
Avec une notice explicative pour Déli^^

J'ai du louper un épisode, pourquoi une notice pour Déli ? :/

Junidor 637

Brank Toof était à terre. Le bontarien, qui ressemblait à un vieillard, se préparait à le frapper avec une immense pelle.
La pièce commença sa descente.
Je l'a saisi. Pile ou Face ? Cette piece n'était pas destinée à tomber sur pile, ni sur face.
Ce n'était simplement que du hasard.

Finalement ma reflexion fut interrompue par le bruit du crane de Brank, fracassé par la pelle de l'enutrof.

Fou de rage, je courus vers lui. Mais pas longtemps quand je compris que je n'avais aucune chance... L'enutrof avait été rejoint par plusieurs membres de son clan.

J'avais dans ma poche, en dernier recours, un jeu de cartes métalliques, qui , bien lancé, pouvait faire de gros dégats. La froideur de ces cartes me picota l'extremité de mes doigts. J'allais les lancer.

Enfin, j'aurais voulu pouvoir les lancer.
Je reçu un coup terrible sur la tête.

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Septange 640

Dezabel se révela comme un compagnon de cellule des plus charmants.
Bien qu'ayant une odeur corporelle des plus déplaisantes, même pour moi qui avait pourtant passé plusieurs années dans ces géoles, il était locace et digne d'interêt.

Dezabel me parla des Darkangels.
Et de leur sombre dessein.

"Les Dernières Paroles du Grand Dragon Bolgrot étaient emplies de haine, de souffrance et de désespoir. Il voulait en détruisant le monde, faire régner sur tout Amakna ces néfastes sentiments qui le hantaient .

Le Mal avait entendu ses paroles, et y trouva une raison à son existence.

Ainsi fut fondé l'Ordre Darkangel, serviteur du Mal depuis la chute du Dragon, afin de répandre haine, souffrance et désespoir dans ce monde.

Cet Ordre naquit dans l'ombre, et forgea son art au labeur et à la guerre dans le plus grand secret.
Une philosophie sur l'art de tuer et de faire souffrir naquit aussi au fur et à mesure que les Démons grandissaient.
Le nom de cet Ordre, si craint, fût effacé de tous les récits...

Mais depuis peu, l'influence Bontarienne est de plus en plus puissante,
et sous des couvers de justice et de paix, Bonta prépare l'invasion du monde libre pour le soumettre à sa corruption.

L'Ordre est donc sortit de l'ombre, guidé par Le Mal.

Aujourd'hui, chacun des Darkanges se bat pour la Gloire de Brakmar, et pour le plaisir du Mal.

Des crieurs d'Apocalypse errent maintenant de partout à travers Amakna, pour saluer l'apparition de l'Ordre au grand jour, afin de réunir toutes les Ailes Pourpres dans une cause unique : répandre le Mal."

Bon, tout ça, s’était avant que les Darkangels meurent tous suite à une peste due à une indigestion de plumes de tofus…

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Junidor 637

J'ai froid. Il fait noir.
Je suis peut-être déjà mort.
Je ne pensais pas que la mort fut aussi douloureuse.
J'entends des gémissements, je sens comme une odeur de chair putride et d'égouts.
Je ne suis pas encore mort, je suis coincé dans des geôles.
Sûrement celle de Bonta... ce qui veut dire que nous avons perdu la bataille... Voir la guerre...
Et que j'ai été capturé sans m'être battu.
Je vais devoir passer mes derniers jours de vie ici, à attendre la mort.
Vivement qu'elle vienne me délivrer.
Je ne le sus que plus tard, mais ma condamnation était de 650 ans...
Cette géole serait donc ma tombe.

Si le corps est la prison de l'âme, j'espere vivement que quelqu'un vienne m'en libérer.